Notre société fait face à plusieurs paradigmes relatifs à l’entretien des aisselles. D’une part, nous avons les adeptes du zéro poil les trouvant inconfortables, dégoutants, sales et disgracieux et d’autres part les partisans du naturel, leur attribuant des qualités protectrices, hydratantes, et thermorégulatrices…
En réalité, le débat en vaut la chandelle. Ainsi, nous allons traiter 3 points favorisant la bonne hygiène des aisselles sans épilation. D’emblée il serait bon de révéler 3 avantages de garder les poils.
3 Avantage de garder des poils d’aisselles
1- Les poils des aisselles et la thermorégulation
Face aux variations des températures, le corps à besoin de réguler sa température interne. Ainsi en cas de forte chaleur, les poils retiendront la sueur prêt de la peau pour la refroidir. A l’inverse ces derniers s’hérisseront pour que les frottements du bras amplifient la chaleur.
2-Les poils des aisselles et la protection microbienne
La présence des poils a aussi l’avantage de limiter grandement les infections microbiennes. En réalité, une peau épilée est beaucoup plus fragile et exposée à l’entrée d’agents pathogènes.
Plusieurs dermatologues s’accordent sur le fait que les follicules pileux, sont associés à la production du sébum (agent important pour la douceur et l’intégrité physique de la peau).
3-L’hydratation
Une peau déshydratée est fragile et de ce fait, exposée aux fissures et blessures. Les poils d’aisselles sont naturellement des sources de captation de sueur et par conséquent d’hydratation cutanée.
Cependant de subtiles négligences dans l’hygiène quotidienne pourraient être à l’origine de mauvaises odeurs. Nous allons donc nous attarder sur ces 3 facteurs clés pouvant nuire à la bonne hygiène des aisselles.
3 Facteur à surveiller pour une bonne hygiène d’aisselle
1-Hygiène du corps
Une peau déshydratée est fragile et de ce fait, exposée aux fissures et blessures. Les poils d’aisselles sont naturellement des sources de captation de sueur et par conséquent d’hydratation cutanée.
Cependant de subtiles négligences dans l’hygiène quotidienne pourraient être à l’origine de mauvaises odeurs.
L’hygiène corporelle est une routine non négligeable pour garder les aisselles propres. Il est recommandé au moins deux douches quotidiennes.
Une le soir et l’autre le matin afin d’éliminer respectivement les bactéries accumulées dans la journée et celles ayant proliféré dans la nuit. Il est aussi conseillé de se doucher après une longue activité sportive.
Ensuite, il faut savoir que tant le savon demeure le meilleur dégraissant pour le corps, tant le shampoing l’est pour les cheveux. Ainsi, pendant la douche quotidienne le lavage des aisselles se fera au shampoing afin éliminer au maximum les bactéries associées à la graisse du sébum sur les poils.
En outre, pour éliminer les germes résistants, il est aussi recommandé de se frotter les aisselles avec du citron 2 fois par semaine 1 min avant la douche.
Enfin il faut éviter se toucher les aisselles avec les mains si ces dernières sont sales. Au risque de véhiculer et accélérer la prolifération bactérienne au niveau des aisselles.
2-Hygiène vestimentaire (vêtements – serviettes)
Même si cela paraît évident, il est important de s’assurer de la propreté de ses vêtements. S’assurer également de la propreté de son gant de toilette et de sa serviette. Si ces deniers ne sont pas propres, au lieu de vous nettoyer, ils répandront logiquement des bactéries sur tout votre corps
En matière de choix vestimentaire, il faut Limiter le port de vêtement en tissus synthétique et plutôt privilégier les vêtements en coton, en lin…
Le synthétique élève rapidement la température du corps. En ce qui concerne les sous-vêtements, il est nécessaire de changer ses sous-corps au moins une fois par jours selon votre activité.
Pareillement, Il est aussi recommandé de changer en cas de journée assez mouvementée, ses chemises au moins une fois par jour.
3-Hygiène de vie (Alimentation – style de vie)
L’alimentation représente également un élément non négligeable en ce qui concerne la composition des sécrétions corporelles. Certains fluides sont susceptibles d’accélérer et même d’amplifier la sécrétion de sueur.
Par conséquent, réduire sa consommation d’alcool, de caféine, de tabac et de mets épicés réduira considérablement la dilatation des vaisseaux sanguins et en conclusion la stimulation des glandes sudoripares.
Quand on stresse, on transpire plus que la moyenne. Ainsi, mieux gérer le stress réduira la sécrétion de sueur.
Certains adeptes de la vie au naturel hésitent encore à se lancer dans ce concept de vie, pour des raisons relatives à l’hygiène.
Bien que garder les poils des aisselles pourrait provoquer de mauvaises odeurs, il serait bon de rassurer que ces derniers ne soient pas synonymes de saleté. Et qu’en réalité, tout dépend de l’hygiène personnelle de tout un chacun et surtout des habitudes comportementales.
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